L’Orthoptie : Une Science au Service de la Vision

L’Orthoptie : Une Science au Service de la Vision

L’orthoptie, bien que méconnue du grand public, joue un rôle essentiel dans le domaine de la santé visuelle. Elle se consacre à la prévention, au diagnostic et à la rééducation des troubles de la vision. Dans cet article, nous explorerons les fondements de l’orthoptie, ses applications et son importance dans le maintien d’une vision optimale.

1. Qu’est-ce que l’orthoptie ?

L’orthoptie, du grec « ortho » (droit) et « optikos » (relatif à la vue), est une spécialité paramédicale axée sur la prise en charge des troubles de la vision fonctionnelle et de la coordination oculaire. Elle ne se limite pas seulement à la correction des défauts visuels par des lunettes ou des lentilles, mais s’intéresse également à la manière dont les deux yeux travaillent ensemble.

2. Quels sont les troubles pris en charge par l’orthoptiste ?

L’orthoptiste est formé pour traiter une variété de troubles, notamment :

  • Amblyopie : diminution de l’acuité visuelle d’un ou des deux yeux sans cause organique apparente.
  • Strabisme : déviation d’un œil par rapport à l’autre.
  • Troubles de la convergence : difficulté ou incapacité des yeux à travailler ensemble de près.
  • Troubles de la motricité oculaire : difficultés de mouvement des yeux.
  • Troubles neurovisuels : conséquences visuelles d’un traumatisme crânien, d’une maladie neurologique, etc.

3. Comment se déroule une séance d’orthoptie ?

Lors de la première consultation, l’orthoptiste réalise un bilan orthoptique complet pour évaluer la nature et la gravité des troubles. Ce bilan peut inclure des tests d’acuité visuelle, de coordination oculaire, de perception des couleurs, de champ visuel, entre autres.

Suite à ce bilan, l’orthoptiste établit un plan de traitement adapté. Les séances de rééducation peuvent inclure des exercices visuels, l’utilisation d’appareils spécifiques, ou encore des conseils pour adapter son environnement quotidien.

Notre équipe :

Clélie FABRE Cabinet de Saint Genis Pouilly

Alexandre FORT Cabinet de Evian les Bains

Sandra GIACOPELLI Cabinet de Divonne les Bains

Roselyne MERI Cabinet de Thonon les Bains

4. Pourquoi consulter un orthoptiste ?

La vision est l’un de nos sens les plus précieux. Les troubles visuels peuvent avoir des répercussions sur la qualité de vie, la performance scolaire ou professionnelle, et même sur la sécurité (par exemple, lors de la conduite). Une prise en charge précoce permet souvent de prévenir l’aggravation des troubles et de garantir une meilleure qualité de vision.

5. Comment devenir orthoptiste ?

En France, pour devenir orthoptiste, il est nécessaire de suivre une formation de trois ans après l’obtention du baccalauréat. Cette formation est dispensée dans des universités de médecine et est sanctionnée par un Diplôme d’État d’Orthoptiste.

Conclusion

L’orthoptie est une discipline essentielle pour garantir la santé visuelle de la population. Que ce soit pour traiter un strabisme chez un enfant, aider un adulte à mieux gérer sa vision de près ou accompagner une personne âgée dans la prévention des chutes liées à des troubles visuels, l’orthoptiste joue un rôle clé.

Prendre soin de sa vision, c’est garantir une meilleure qualité de vie

Conjonctivite-allergique

Conjonctivite allergique

Conjonctivite allergique

La conjonctivite allergique est provoquée par 2 sortes d’allergènes :

  • Les allergènes que l’on trouve quotidiennement dans nos lieux de vie et de travail (acariens, moisissures).
  • Les allergènes environnementaux (pollen, graminées, agents polluants).

En France, près de  30% de la population adulte et jusqu’à 20% des enfants seraient aujourd’hui allergiques à des pollens, selon l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail.

Sur le bassin Lemanique, dans le Pays de Gex, la Haute-Savoie ce sont essentiellement les pollens de boulot, de noisetier, de cyprès, d’aulne et d’ambroisie qui sont responsables d’un risque d’allergie variant d’un niveau faible à localement élevé, voire très élevé.

Afin de réduire les pathologies (conjonctivite, rhinite, infection respiratoire…) qu’entraînent ces pollens, l’Agence Régionale de Santé de Rhône- Alpes rappelle à tous « de réduire l’ambroisie que ce soit sur le domaine public ou privé ».

Les symptômes de la conjonctivite allergique :

Les yeux sont rouges, larmoyants, le patient ressent des démangeaisons, une sensibilité accrue à la lumière et une sensation de grain de sable dans l’œil. Les paupières peuvent être rouges et gonflées, parfois collées le matin. En parallèle on peut constater un écoulement nasal. La conjonctive allergique étant dans la majorité des cas associée à une rhinite.

Les allergènes comme les pollens sont en suspension dans l’air de ce fait la conjonctivite allergique est toujours bilatérale (les deux yeux sont atteints).

La conjonctivite virale ou bactérienne présente les mêmes symptômes sans rhinite. C’est alors l’évolution de la conjonctivite qui conduit à suspecter l’allergie. Tout particulièrement lorsque la conjonctivite ne guérit pas ou récidive.

Votre ophtalmologue vous conseillera, comme dans toute allergie de faire réaliser un bilan complet par un médecin allergologue.

La conjonctive allergique est une réaction des anticorps contre l’antigène (allergène) dont le patient a développé une sensibilité. A l’inverse des autres conjonctivites, la conjonctivite allergique n’est pas contagieuse

Quand la conjonctivite allergique est due aux pollens, les épisodes sont saisonniers. Ils se répètent alors chaque année au printemps, à la fin de l’été et même au début de l’automne. Malheureusement si ce sont les acariens ou autres allergènes comme les poils d’animaux qui provoquent ces conjonctivites, celles-ci peuvent se reproduire tout au long de l’année.

Attention les porteurs de lentilles sont des patients plus à risque d’altération de la surface oculaire et peut présenter des symptômes plus importants.

Les traitements de la conjonctivite allergique :

Lorsque cela est possible, l’éviction de l’allergène permet de traiter le problème de fond. Ce qui s’avère très difficile, voire impossible, lorsqu’il s’agit de pollen ou d’acariens.

Dès les premiers signes d’inflammation de l’œil, il est indispensable de consulter un ophtalmologue avant de prendre le moindre traitement.

La conjonctivite est l’inflammation de la membrane transparente qui recouvre l’œil et l’intérieur des paupières.

Votre médecin pourra vous prescrire un collyre à base d’antihistaminiques ou de décongestionnant afin de soulager les symptômes.

Dans les cas les plus sévères, un collyre de corticoïdes sera efficace (toujours sous contrôle médical).

Il est également nécessaire d’utiliser du sérum physiologique pour nettoyer régulièrement l’œil des allergènes.

Les conseils d’eVision.

En cas d’allergie au pollen comme souvent dans nos belles régions de l’Ain, de la Haute-Savoie, et de la Suisse voisine, il est conseillé :

  • de se laver les cheveux le soir avant de se coucher
  • de porter des lunettes de soleil (ou de vue), elles créent un écran de protection
  • de faire sécher son linge à l’intérieur pour ne pas que les pollens s’y fixent
  • de fermer les fenêtres de sa voiture afin d’éviter que les allergènes rentre dans l’habitacle
  • de se laver les mains, le nez, le visage à grande eau ainsi que les yeux avec du sérum physiologique, plusieurs fois par jour.
  • d’aérer son lieu de vie, 10 minutes, tôt le matin avant la dispersion du pollen et tard le soir

En cas d’allergies sévères :

  •  d’éviter les activités extérieures comme le jardinage ou les sports en plein air.
  • de consulter le bulletin du RNSA (Réseau National de Surveillance Aérobiologique)

L’enfant en ophtalmologie

L’enfant en ophtalmologie

Le développement visuel de l’enfant

  • À LA NAISSANCE : Bébé perçoit un objet contrasté à 30cm de ses yeux.
  • AU 3ème JOUR : Il commence à fixer certains visages.
  • À 6 SEMAINES : il commence à reconnaître sa maman.
  • À 4 MOIS ET DEMI : Il est capable de suivre des mouvements rapides. Il discerne certains détails et les couleurs franches.
  • À 18 MOIS : son acuité est de 4 à 6/10ème.
  • JUSQU’À 4/5 ANS : Son acuité augmente pour atteindre 10/10ème.
  • DE 6 À 10 ANS : Son système visuel n’est pas encore à maturité. Sa vision latérale est limitée.
  • À 10 ANS : Il a acquis toutes ses facultés visuelles.

Nous préconisons des examens à différentes étapes de l’enfance :

  • A 9 mois : l’examen est conseillé pour les enfants à risque (enfant prématuré, maladie génétique, problèmes ophtalmologiques familiaux, lorsque l’enfant a un œil qui dévie).
  • Avant l’entrée en primaire : l’examen est conseillé afin de faire un bilan avant les premiers apprentissages de la lecture et écriture.
  • Tout au long de sa scolarisation : l’examen est conseillé afin de palier à des difficultés d’apprentissage.

Quelques « trucs » qui permettent de déceler très facilement et rapidement un trouble de la vue chez votre enfant.

  • Un enfant hypermétrope a souvent des difficultés à se concentrer, il se plaint de maux de tête en fin de journée et il plisse les yeux pour regarder de près.
  • Un jeune myope écrit le nez sur son cahier, il regarde les objets de très près et plisse les yeux pour voir de loin.
  • Quant à l’astigmate, il dessine de travers, il ne suit pas les lignes pour écrire, il est vite ébloui et confond certaines lettres proches : O avec C et B avec S.

Les conseils pratiques en ophtalmologie

Les conseils pratiques en ophtalmologie

L’hygiène de vie

Une hygiène de vie correcte permet de se prémunir contre les conséquences du vieillissement oculaire.
Certains conseils sont à suivre :

  • Eviter le tabac
    Le tabac favorise la production de radicaux libres, ce qui multiplie de 25% le risque de vieillissement prématuré de la rétine
  • Porte des lunettes avec filtres UV
    Les UV favorisent également la fabrication de radicaux libres, multipliant le risque de vieillissement de la rétine.
  • Respecter les ordonnances

Il est primordial de suivre scrupuleusement le traitement préconisé par l’ophtalmologue.

  • Assurer un suivi ophtalmologique régulier
    Lors de la consultation, l’ophtalmologue préconise un rythme de visite. Il est important de bien suivre ces intervalles afin d’assurer le meilleur suivi de la santé oculaire.
conseil-en-ophtalmologie

Les conseils alimentaires

Une alimentation saine et variée permet une bonne santé générale et de se protéger contre les conséquences du vieillissement oculaire.
Certains aliments sont à privilégier :

  • Vitamine E
    La vitamine E peut jouer un rôle préventif en matière de cataracte et de dégénérescence maculaire.
    Aliments riches en vitamine E : huiles végétales, margarines végétales, maïs, germes de blé, olives noires, fruits secs à coques (amandes, noisettes, graines de tournesol, cacahuètes, etc…)
  • Vitamine C
    La vitamine C joue un rôle préventif en matière de cataracte et recule l’apparition de la dégénérescence maculaire. Elle prévient également le glaucome et soulage les patients qui en sont atteints. Aliments riches en vitamine C : agrumes, kiwis, fraises, cassis, goyaves, poivrons, persil, brocolis, poivrons, etc…
  • Vitamine A
    La vitamine A aide à prévenir l’aveuglement nocturne et aide à maintenir une cornée saine.
    Aliments riches en vitamine A : carottes, patates douces, citrouille, mangue, abricot.
  • Le zinc
    Le zinc permet de se prémunir contre la dégénérescence maculaire et l’aveuglement nocturne.
    Aliments riches en zinc : foie, légumes secs, pain complet, fromage, crustacés, huitres, coquillages, jaunes d’œuf
  • Lutéine et zéaxantine
    La lutéine et la zéaxantine préviennent la dégénérescence maculaire.
    Aliments riches en lutéine et zéaxantine : chou frisé, épinards, cresson, haricots verts, laitue, brocolis, courgette, carottes.
  • Acides gras et Oméga 3
    Les acides gras sont essentiels dans développement visuel.
    Aliments riches en Oméga 3 : poisson gras (sardine, anchois, maquereau, saumon, thon rouge, hareng), poisson mi-gras, poisson maigre, crustacés, mollusques.

L’ergonomie devant l’écran

De nos jours, le travail sur écran prend de plus en plus de place dans notre quotidien, ce qui peut apporter une fatigue visuelle.
Certaines précautions sont à suivre :

  • Assurer un suivi ophtalmologique régulier
    Après un long laps de temps devant l’écran, le moindre défaut visuel mal corrigé peut provoquer une gêne. Une consultation régulière chez l’ophtalmologue est conseillée afin d’assurer le meilleur suivi de la santé oculaire.
  • Soigner l’éclairage
    Une lumière ambiante est importante pour le confort visuel devant l’écran mais ne doit pas non plus être excessive. Une vigilance doit être apportée sur l’emplacement des écrans par rapport aux fenêtres et mettre en place un filtre sur la lumière extérieure (store, rideau, etc).
  • Éliminez les reflets
    Les reflets sur l’écran le contraste visuel. Il est conseillé d’éliminer les sources de lumière à l’origine de ces reflets, en pensant à l’emplacement des écrans par rapport aux sources du lumière.
  • Régler l’écran
    Afin d’assurer un pôle de travail optimal, veiller à bien placer l’écran, tant au niveau de la hauteur de l’écran, que son inclinaison ou de ses paramètres d’affichage. L’écran doit être exactement à la hauteur de vos yeux.
    Faire des pauses
    Il a été démontré que nous clignons 5 fois moins des yeux devant l’écran. Il peut donc apparaître une sensation de « brulures des yeux » ou « d’œil rouge ». Il est conseillé de faire des pauses régulières en fixant un point au loin dans la pièce et en clignant des yeux.
Des difficultés avec vos lunettes

Des difficultés avec vos lunettes

Des difficultés avec vos lunettes

Porter des lunettes occasionnellement et les porter constamment sont deux choses très différentes.

Les personnes qui ont des problèmes de vues doivent vivre avec quelques petits problèmes quotidiens. Le simple fait d’ouvrir un lave-vaisselle qui vient de finir de tourner peut vous rendre momentanément aveugle à cause de la buée, vous détestez la pluie plus que tout et faire du ski devient une épreuve….

Souvent considérée à tort comme une chirurgie de confort, la chirurgie réfractive permet aux patients de dépasser leurs problèmes de vue qu’ils considèrent bien souvent comme un handicap.

Mais il s’agit également d’améliorer nettement leur qualité de vie et d’oublier le sentiment d’insécurité provoqué par la contrainte du port de lunettes ou de lentilles aussi bien d’un point de vue pratique dans leur vie quotidienne, sportive…, que psychologiquement.

Vous devez laisser vos lunettes pour aller vous baigner ou ôter vos lentilles

Des difficultés avec vos lunettes

Pas simple de boire une boisson chaude

La pluie est votre pire ennemie

Vous devez nettoyer constamment vos lunettes

NETTOYER-LUNETTESVivre sans lunettes ni lentilles : Correction Laser de la Vision eVision Suisse

Vous rencontrez des problèmes lorsque vous faites du sport l’hiver

Vivre sans lunettes ni lentilles

Difficile de se reposer un instant sans enlever ses lunettes

Vivre sans lunettes ni lentilles : Correction Laser de la Vision eVision Suisse

Vous ne supportez plus vos lentilles

Vivre sans lunettes ni lentilles

Comment mettre un masque de ski ou un casque de moto ?

Correction Laser de la Vision

Instantanément aveugle lorsque vous rentrez dans une pièce chauffée alors qu’il fait froid à l’extérieur

Et tant d’autres difficultés à prévoir au quotidien !

Jusqu’à présent vous corrigiez vos défauts de vision, pour ne plus subir toutes ces difficultés, Désormais vous pouvez les traiter par la Correction de la vision par traitement laser : La chirurgie réfractive.

Acuité visuelle

Acuité visuelle

Pour connaître l’état de la vision d’un patient, l’ophtalmologue teste sa vue et mesure son acuité visuelle qui est exprimée en dixièmes.
Très schématiquement, on considère normale une acuité visuelle de 10 dixièmes.

Elle n’est que de 1/10 chez le nouveau-né, entre 2/10 et 3/10 à un an, 5/10 à quatre ans et 10/10 vers cinq ou six ans.

L’acuité visuelle et la puissance dioptrique des verres à l’échelle corrective, sont deux mesures différentes.

La dioptrie est l’unité de mesure de la correction nécessaire pour obtenir le nombre de dixièmes. Plus les dioptries sont élevées et plus les défauts sont forts.

Afin de pouvoir mesurer objectivement la vision chez un patient, différentes échelles ont été développées  tout au long de l’histoire de la médecine.
Les plus utilisées actuellement lors des consultations sont l’échelle de Monoyer et l’échelle de Parinaud.

Ophtalmologie 01 Lire une ordonnance de lunettes ou lentilles

Lire une ordonnance

Lire une ordonnance

Lors d’une consultation ophtalmologique pour un contrôle de vue, le patient reçoit, si cela s’avère nécessaire, une ordonnance de lunettes qu’il devra remettre à son opticien.
Cette ordonnance comporte différents éléments propres au défaut de vision.

A : SPHERE (en dioptrie) : degré de myopie (si précédé du signe -) ou d’hypermétropie (si précédé du signe +)
B : CYLINDRE (en dioptrie) : degré d’astigmatisme (+ ou -)
C : AXE (en degrés °) : axe de l’astigmatisme
D : ADDITION (en dioptrie) : pour la correction de la presbytie par verres progressifs. Ce chiffre à est ajouter aux chiffres de vision de loin pour une correction en vision de près.
E : ECART PUPILLAIRE : distance entre chaque pupille

Types de verres

Une ordonnance classique permet de porter des verres blancs classiques. Selon le souhait du patient, des traitements spécifiques peuvent être demandés.

La teinte des verres

  • Les verres teintés sont classés en 4 catégories :
    Classe 4 : ne laissent passer que 3 à 8 % de la lumière visible. Ces types de verres sont interdits pour la conduite automobile.
  • Classe 3 : ne laissent passer que 8 à 18 % de la lumière visible. Ces types de verres sont la classe utilisée pour les enfants.
  • Classes 1 et 2 sont pour l’usage quotidien.

Il existe différentes teintes de verre :

  • Les verres gris assurent une restitution fidèle des couleurs et protègent par tous les temps.
  • Les verres bruns réchauffent et améliorent les contrastes. Ils offrent une bonne protection en toute circonstance.
  • Les verres jaunes rehaussent les contrastes par temps de brouillard ou de faible luminosité.

Le traitement polarisant

C’est un traitement qui atténue les reflets du soleil (sur l’eau ou la neige), il renforce aussi les contrastes.

Le traitement anti-reflet

C’est un traitement situé sur la face arrière du verre. Il permet de limiter les reflets parasites.

Le traitement miroité

C’est un traitement situé sur la face avant du verre. Il permet d’augmenter la qualité de filtration du verre sans en modifier le rendu.

 

Search

+